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 La danse de la pluie, le chant du phénix et l'ode du savoir : réunion des gardiens (Libre à tous!)

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AuteurMessage
Dementia Gotthelf
Elève Serpentard 4ème année
Elève Serpentard 4ème année
Dementia Gotthelf


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La danse de la pluie, le chant du phénix et l'ode du savoir : réunion des gardiens  (Libre à tous!) Empty
MessageSujet: La danse de la pluie, le chant du phénix et l'ode du savoir : réunion des gardiens (Libre à tous!)   La danse de la pluie, le chant du phénix et l'ode du savoir : réunion des gardiens  (Libre à tous!) EmptyJeu 29 Mar - 21:42

" La danse de la pluie fera l'objet d'un rite, le chant du phénix résonnera lorsque l'ennemi sera vaincu et l'ode du savoir sera offerte lors du pacte! " Qu'est-ce que c'est encore que cette prophetie à deux balles?


Il y a des jours où tout va mal, et d'autres où tout se passe pour le mieux, et en ce jour bénit du 29 Mars 1941, la vision du monde changea. Mais commençons d'abord par le commencement, lorsque ce matin, deux silhouettes furetaient encore dans les rues du chemin de traverse. Lorsqu'avant de venir au ministère de la magie, ces deux silhouettes avaient d'abord chercher une idée de jeu. Un jeu qui mêlerait toute la population sorcière et leur permettrai de se faire connaitre comme étant les enfants du chaos. La plus jeune des deux, de juste six heures, six minutes et six secondes en fait, avait rabattus la capuche de sa cape sur sa tête alors que l’aînée faisait de même et s'enroulait totalement dans sa cape. Le duo traversait doucement l'allée d'un pas lent, il n'était pour l'instant que 6 heures du matin et tout semblait fermer. Le vent était encore frais de la pluie de la veille, et faisait voletait les capes des demoiselles dans un ballet endiablé. Un douce mélodie résonnait dans toute la rue marchande, rythmée par les pas des jeunes filles à talons, les carillons des perles qui s'entrechoquent dans leur belle chevelure et les voix gracieuses de leur propriétaire sur un air peu connu : Synchronicity. La chanson filait sur la brise matinale et éveillée peu à peu la rue commerçante comme une douce berceuse prononcée par la magie en elle même. Cette ode merveilleuse traversait les allées, les avenues, les quartiers et semblait traverser les murs comme un fantôme aux allure maternelle. La plus jeune eut un doux sourire fleurissant sur ses lèvres alors qu'elle contemplait d'en bas la haute stature architecturale du ministère de la magie, et elle informa sa soeur de son plan des plus étranges. La brune eut alors le même sourire, et toutes deux reprirent leur chant en se baladant tranquillement dans l'avenue marchande, observant chaque recoins qui allaient leur servir pour leur jeu.

"Fly on the way of sky, let us make thousand mistake, and let us love anybody..."

La brune était une gryffondor pure souche, son courage, passant parfois pour de l'inconscience suicidaire, était invincible et toujours en mode marche. Elle adorait collectionner les créatures les plus dangereuses qui soient, allant des centaures aux hippogriffes en passant par les dragons et autres êtres magique interdit à la vente ou simplement meurtrier pour la majorité des autres sorciers. Cette jeune fille n'était pas n'importe qui, elle était belle d'une puissance incroyablement chaleureuse et vivifiante. Ses longs cheveux bruns, méchait d'or étaient noués en un superbe chignon descendant par des perles scintillantes et des étoiles d'or, retenus à l'avant par deux pinces du même coloris. Ses yeux flamboyant semblaient irradiaient d'une lueur de folie et de lucidité étrange, comme si en elle se cachait un autre être, bien plus puissant, et lumineux, tel l'astre du jour. Ses traits fins s'étiraient chaque jour en un grand sourire, rappelant souvent celui du chat dans Alice au pays des merveilles, et il n'en serait que plus crédible du fait que sa jumelle en était le portrait craché. Pour cette journée idéale qui allait se dérouler, Elle portait pour la première fois depuis des années une splendide robe d'un blanc crème, avec de multiples voiles rosés sur le devant de celle-ci. Les jupons de tulles faisaient énormément de volume et l'immense ruban pourpre qui prônait sur le bas de son dos lui donnait l'air d'une véritable princesse. son buste était retenu par un bustier rouge, filé d'or et de blanc, d'une manière très délicate, et un lion semblait danser sur le corsage. Sa poitrine déjà volumineuse était retenus dans de la soie crémeuse où se dessinaient de belles arabesques fleuries rose et ses bras étaient recouverts par des manches translucide sur trois étage, la première était blanche mais aussi la plus longue, la seconde était dorée, et la plus courte était blanche, comme le col de la robe. Sa cape était d'un rouge extrêmement prononcé, comme le sang, et les armoiries de sa maison la fermait sur sa nuque pale, car c'était un cadeau de son oncle, siégeant au conseil des nobles. Car elle n'était pas n'importe qui, non, Elle était Harmonia Maloria Gotthelf !

De son coté, sa sœur n'avait rien à envié non plus aux visages des madones ni aux princesses des contes de fées moldus. Pourtant, tout en elle reflétait l'image même de salazar serpentard, elle manipulait les gens à volonté, savait frappé là où ça fait mal, et fuir lorsqu'il le fallait. Personne n'était encore capable d'égaler son savoir culturel, car lorsque sa sœur jouer avec les monstres dans la salle qui leur été réservée, elle, s'occupait de lire toute la bibliothèque de sa demeure. Elle, en revanche, scintillait d'une beauté dangereuse, presque mortelle, et froide comme la mort, une beauté destructrice. Sa belle chevelure blonde comme l'or et éfillée d'argent était nouée en un superbe chignon perlé d'argent lui aussi, bien que les pinces soient des croissants de lune et de nombreuses mèches lui retombait sur les yeux. Et ses yeux, en parlant d'eux, étaient d'un vert d'eau quasiment indéfinissable, entre le turquoise d'un lac et l'azur du ciel, liquide d'une profondeur inégalée qui semblait s'animer d'une obscurité sans limite. Son expression était toujours aussi impassible, bien qu'on puisse discerné un micro sourire sur ses lèvres rosées, et elle avait tendance à rire derrière sa main, comme le chapelier fou, une véritable équipe de choc qu'elle pouvait former avec sa jumelle. Elle aussi portait une robe aux innombrables voile et jupon. La sienne en revanche était d'un gris sombre, presque noir, et des voiles d’émeraude en faisaient les bords avec grâce. Très volumineuse de par les jupons de tulle, le nœud de son dos était lui aussi d'un vert émeraude et faisait deux fois sa taille en largeur. Son buste était prit dans un épais corsage d'argent à demi-rempli, où valsait deux cobra royal aux yeux vert de jade, filé de gris. Ses bras étaient encerclés de deux sortes de manches, la première moulait ses membres et se terminait en anneaux à son annulaire, aussi sombre que le reste de la robe, alors que l'autre, qui démarrait aux épaules, était verte et transparente, se terminant en dégradé évasé au niveau des coudes. Elle portait une longue cape d’émeraude de velours quasiment liquide et qui se fermait à son col avec le sceau de sa maison, gracieusement offert lors de sa répartition par son grand oncle. Elle, elle se prénommait Dementia Angelica Gotthelf !

Oui, les jumelles des enfers se promenaient en ce moment même dans les rues déserte du chemin de traverse, alors qu'elles auraient due être encore à Poudlard, mais l'école aussi avez déserté, pendant une semaine, pour finir les rénovations suite à l'attaque de Grindelwald, qui avait ensuite prit la fuite. Les jumelles avaient été la cible principal de cet attentats, mais bizarrement, elles avaient combattus toutes deux avec brios leur agresseur, et encore plus en apprenant la trahison de leur ami, et amant pour la cadette : Tom Elvis Jedusor. Lorsque Dementia l'avait vu rejoindre les troupes ennemies, et lui lancer un regard désolé mais froid, sa haine l'avait emporté, et la jeune sorcière avait montré, avec l'aide de sa sœur, de quoi les jumelles de l'enfer étaient capables. C'est pourquoi, en ce jour du 29 Mars, l’aîné avait décidé de partir jouer, voyant sa jumelle broyer du noir pendant des heures ne lui avait définitivement pas plu. Leurs pas musicaux les avaient menés à l'entrée de l'immense bâtiment, pourtant, aucune crainte ne se lisait sur leur doux visages de poupées, seulement un intérêt non dissimulé et un grand sourire espiègle sur leur lèvres trahissaient leurs intentions. La brune émit un léger rire avant de pousser la grande porte en même temps que sa sœur, et dans un grincement sonore, le ministère de la magie se dévoila aux jumelles Gotthelf. Les deux filles, d'un commun accord, décidèrent de jouer avec le personnel de garde, et, disparaissant à leurs yeux, sans pour autant se cacher sous des sorts, toutes deux avaient bien l'intention de leur faire vivre un enfer pour avoir osé incriminé Tom sans même l'avoir écouté. Dans l'immense Hall, un chant étrange se fit entendre, une voix mélodieuse et souple, envoûtante et sensuelle, qui plongea immédiatement tous les aurors et langue de plombs dans une sorte de coma impossible à contré. Le chant cessa à la seconde où tout l'étage fut totalement endormit, et la mise en place des pièges put enfin avoir lieux.

"Demi, j'espère pour toi que tu ne comptes pas jouer les sirènes toute ta vie, parce que ton public risquerait de mourir pour overdose! " S'exclama Maloria en jetant quatre sortilèges en direction de la grande fontaine.

" Pas besoin, je sais déjà que tous les hommes sont à mes pieds! " répondit simplement sa jumelle en laissant sa magie s'infiltrer dans les murs de la bâtisse. Puis, un silence résonna quelque instant entre elles deux, quelque chose clochait. "Je peux savoir où est Orphéus? "

" ... " Harmonia hésita, puis fouilla la pièce du regard, manifestement, le petit garçon n'était plus là "Mais comment a-t-il pu se perdre aussi vite? " râla la brune en se tapant le front.

Oui, le ministère allait souffrir, et pas qu'un peu...
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